![]() Les problèmes de poids et l'obésité résultent de la combinaison de nombreux facteurs, dont des aspects physiques, sociaux et psychologiques. Nous examinons ici certains facteurs qui peuvent être classés comme environnementaux, bien qu'ils puissent interagir avec des processus psychologiques. Le terme « environnement obésogène » fait référence à « un environnement qui favorise la prise de poids et qui n'est pas propice à la perte de poids » à la maison, dans la communauté ou sur le lieu de travail. En d'autres termes, l'environnement obésogène fait référence à un environnement qui aide ou contribue à l'obésité. Certains facteurs environnementaux favorisant l’obésité sont :
Chacun de nous vit dans son environnement unique, de sorte que les obstacles et les avantages pour atteindre et maintenir des habitudes saines sont également uniques. Faisons un exercice. Pensez à quelque chose/quelqu'un dans votre vie qui « pèse » sur vous. De quelles manières cette chose/personne favorise-t-elle la prise de poids et l'obésité ? Soit honnête avec toi. Si vous ne voyez pas le problème, vous ne pourrez pas le résoudre. En faisant un inventaire honnête des environnements dans lesquels vous vivez, vous êtes en mesure d'apporter des changements qui se traduiront par une meilleure santé et un meilleur bien-être. La belle chose à propos de ce type de travail de développement personnel est qu'il ne ressemble pas à du travail, car vous vous rendez la vie à la fois plus facile et plus productive. Stephen Stotland, Ph.D. ![]() La pleine conscience est devenue un sujet populaire en relation avec le contrôle du poids. Beaucoup suggèrent qu'apprendre à manger plus consciencieusement devrait conduire à une alimentation plus saine et peut-être à un meilleur contrôle du poids. Bien sûr, cela n'a pas encore été prouvé, même si cela semble être une prédiction logique. Alors, qu'est-ce que la pleine conscience, comment en obtenir plus et comment améliore-t-elle le contrôle du poids ? La pleine conscience fait référence à un état d'esprit dans lequel nous remarquons ce que nous pensons et ressentons, sans nous perdre dans nos pensées ou être piégés dans nos sentiments. On pense que l'entraînement à la pleine conscience développe progressivement la qualité de "l'équanimité", ce qui signifie que nous devenons meilleurs pour ne pas amplifier nos réactions, qu'elles soient positives ("la creme glacé est si bonne, je ne peux pas m'arrêter d'en manger") ou négatives ( « Je ne peux pas supporter ce sentiment et je dois le faire disparaître tout de suite »). Dans la pratique de la méditation, nous essayons de tout remarquer sans porter de jugement, sans agir en conséquence. S'engager régulièrement dans une forme de pratique mentale, telle que la méditation de pleine conscience, semble avoir des effets bénéfiques sur la qualité de notre état d'esprit. Pour tirer le meilleur parti de nos efforts dans la poursuite de nos objectifs, comme être en meilleure forme ou augmenter notre satisfaction globale à l'égard de la vie, il est utile de gérer le processus de changement de comportement de manière consciente, en se concentrant davantage sur le quotidien. processus d'une journée et moins sur le résultat. En matière de contrôle du poids, le concept de pleine conscience a de nombreuses implications et applications : Mangez-vous en pleine conscience ? Êtes-vous conscient de votre activité physique? Gérez-vous le stress en pleine conscience ? Gérez-vous votre poids et votre santé de manière consciente ? La pleine conscience suffit-elle ? Lorsque nous pensons au processus de prise de décision pour manger (ou faire de l'exercice), nous réalisons qu'être conscient de nos impulsions à manger ou à ne pas manger peut ne pas être suffisant pour produire de meilleurs choix, même si c'est une première étape nécessaire. Nous avons également besoin d'une stratégie telle que celle que je définis comme "modération". La question est alors de savoir comment la pleine conscience et la modération sont liées l'une à l'autre ? La modération commence par l'intention de manger « de la bonne façon » ; c'est-à-dire la quantité optimale et les types d'aliments. Ce qui est « juste » ou « optimal » est difficile à définir, nous pouvons donc le considérer davantage comme une stratégie générale, comme un méta-objectif. Il n'y a aucune obligation spécifique de suivre un régime ou un régime alimentaire particulier, mais plutôt une stratégie pour manger "raisonnablement et intelligemment". Je me réfère parfois à la modération en tant que "retenue intelligente". Il y a autant de variations sur ce à quoi cela ressemble qu'il y a d'individus, car nous avons nos propres préférences individuelles et nos besoins biologiques en matière de nourriture. La stratégie doit correspondre à ce dont nous avons besoin pour soutenir notre santé et notre bien-être. La retenue intelligente est différente de la « mentalité de régime » prototypique. La mentalité diététique typique est un type de restriction "rigide", basée sur des règles alimentaires strictes ("manger ceci, pas cela"), l'anxiété d'enfreindre les règles, la culpabilité et la perte de confiance si et quand il y a un manquement dans la contention. En revanche, la retenue intelligente consiste à être un mangeur intelligent et raisonnable. Cela ne signifie pas être inflexible. Par exemple, prendre un petit cornet de glace au lieu d'un moyen ou grand, se rendre compte que les 10 premières bouchées sont les meilleures, après quoi la satisfaction par bouchée diminue rapidement, et se rappeler qu'il y aura d'autres occasions de manger de la glace, et ce n'est pas la dernière chance. Cet état d'esprit, dans la mesure où nous le suivons, conduit à une réduction significative des mauvaises habitudes alimentaires et à une augmentation des choix sains, tout en satisfaisant nos préférences gustatives. Ainsi, l'état d'esprit le plus avancé en matière de gestion du poids, et celui que nous voulons cultiver, est mieux qualifié de "conscient et modéré". Le fonctionnement de cet état d'esprit fonctionne sur les principes de sensibilité aux signaux internes, ainsi qu'une attitude de modération. Pour résumer, vous devez apprendre à prêter attention aux signaux de votre corps et vous devez également aiguiser votre retenue intelligente. La pleine conscience est nécessaire, mais le bon jugement l'est tout autant. Dans notre programme, nous travaillons pour vous aider à passer d'une restriction rigide à une contention intelligente, et finalement à une alimentation consciente et modérée. Ces principes s'appliquent à la façon dont vous mangez et à la façon dont vous réglez votre activité physique, la gestion du stress et la santé et le bien-être en général. En d'autres termes, c'est une sorte de stratégie passe-partout, peut-être même un mode de vie. Stephen Stotland, Ph.D. ![]() Fixer des objectifs et travailler à leur réalisation est la formule la plus élémentaire pour un changement de comportement. Pensez à un objectif simple, dites "faire une promenade, chaque jour". De la manière dont nous avons énoncé cet objectif, il n'y a pas de règle pour combien de temps marcher, quand, où ou avec qui. C'est simplement, marcher chaque jour. Avec le temps, vous pourrez juger s'il y a une amélioration de votre marche quotidienne. Vous n'aurez pas besoin de le quantifier ou de fournir un pourcentage d'amélioration, mais vous devriez savoir clairement si vous avez fait une petite, moyenne ou grande amélioration de votre marche depuis le dernier test de performance. Si vous avez un fort sentiment de marcher mieux/plus, cela s'accompagnera probablement d'une certaine amélioration de votre auto-évaluation globale de la forme physique et d'autres changements que vous pourrez remarquer. Allons un peu plus loin et pensons à un deuxième objectif, "manger des légumes", chaque jour. C'est une autre tâche apparemment simple. Pensez-y un peu plus cependant et vous vous rendrez compte à quel point il y a place à l'amélioration dans votre consommation de légumes. Ce n'est pas une approbation du véganisme, car manger des légumes est important, peu importe ce qui est inclus ou non dans le régime alimentaire. Encore une fois, pensez à une amélioration progressive de votre consommation de légumes et à quel point cela vous ferait vous sentir mieux en général. Après vous être concentré sur ces objectifs pendant un certain temps, vous pouvez ajouter d'autres objectifs simples, tels que "faire quelque chose pour se détendre". Ou ajoutez d'autres objectifs en matière d'alimentation et d'activité physique. Peu à peu, vous acquerrez un nouvel ensemble d'habitudes saines. Tout cela s'ajoute probablement à de grands changements dans votre santé et votre bien-être, en particulier sur de longues périodes. Pensez petit et rappelez-vous qu'un voyage de 1 000 milles commence par un seul pas. C'est un cliché, mais c'est sans doute vrai ! Stephen Stotland, Ph.D. ![]() Mon article de blog précédent discutait des idées de base autour de la "préparation". J'espère que cela a inspiré certaines personnes à réfléchir à ce que cela signifie pour elles, et peut-être ont-elles passé notre test de préparation à la gestion du poids pour se donner une mesure de base. Dans cet article, j'explorerai plus profondément le concept de préparation, pour expliquer comment nous pouvons l'utiliser pour accélérer le processus de changement de comportement. ALERTE SPOILER : si vous n'avez pas encore passé le test, ce serait le bon moment pour le faire. Revenez ensuite et lisez la suite. Pour communiquer aux gens sur l'état de préparation, il a été utile de trouver un moyen de résumer tous les différents facteurs en un seul score d'état de préparation. Le score nous donne une idée globale de nos forces actuelles par rapport à nos faiblesses en ce qui concerne la réalisation de nos objectifs de gestion du poids. Cependant, en résumant ainsi, nous perdons certaines des informations plus spécifiques qui expliquent les différences entre deux personnes qui peuvent être arrivées au même score de différentes manières. Dans son organisation actuelle, le score de préparation varie de -4 à +4. Un score de -4 signifie que les obstacles perçus au changement sont au maximum, tandis que la confiance dans le changement est au minimum. D'autre part, un score de +4 implique le scénario inverse, avec un maximum de confiance et un minimum d'obstacles. Ces situations sont parfaitement claires. Pour la personne avec un score de -4, la tâche semble assez désespérée à l'heure actuelle, tandis que la personne à +4 la voit comme une navigation en douceur. Plus on s'éloigne des extrêmes, plus il y a de façons d'atteindre le même score. Par exemple, un score de 0 signifie que les personnes ont perçu les obstacles comme étant égaux à leur confiance à surmonter ces obstacles. Mais ce même résultat peut se produire à tous les points de l'échelle : 0 obstacle et 0 confiance, obstacles max et confiance max, ou obstacles modérés combinés à une confiance modérée, tous produisent un score de zéro. Il n'est pas certain que ces différents scénarios se valent réellement. Le test de préparation peut être utilisé de deux manières, et l'une est probablement plus valide et utile que l'autre. Premièrement, nous pouvons utiliser les scores pour comparer les gens, pour juger du niveau de préparation d'une personne par rapport à la personne moyenne. La deuxième utilisation du test est d'explorer les diverses idées d'un individu sur la gestion du poids et de voir comment ces idées changent avec le temps. Si les deux stratégies ont leur place, c'est la seconde qui est la plus utile dans un contexte de coaching et qui peut nous aider à nous lancer dans la démarche. Regardons plus profondément. Nous allons commencer par la première question du test. Il vous demande dans quelle mesure vous êtes d'accord avec l'énoncé : "C'est très important pour moi de perdre du poids, mais j'ai du mal à en faire une priorité absolue", sur une échelle de 5 points allant de complètement d'accord à complètement d'accord. Quelle est cette question ? Que signifie faire de la perte de poids une "priorité absolue" ? Doit-il être la priorité absolue ou peut-il simplement être une priorité élevée ? La plupart des personnes qui répondent au test sont tout à fait d'accord ou plutôt d'accord avec cette affirmation. Cela implique qu'ils sentent qu'ils devront se concentrer principalement sur cette tâche. Ce qu'ils devront faire exactement n'est pas précisé. Est-ce pour monter sur la balance chaque matin ? Est-ce pour prendre plus de temps pour décider quoi manger ? Est-ce qu'il se promène chaque jour ? Lorsque nous disons que l'atteinte d'un objectif nécessite qu'il soit une priorité absolue, il semble que nous disons que cela demandera beaucoup d'efforts, que cela prendra du temps et de l'énergie à d'autres activités, et que nous devrons nous sacrifier pour atteindre cet objectif. Comme vous pouvez le voir, il peut y avoir beaucoup de choses dans la réponse à cette seule question. Plus nous percevons la tâche comme lourde, exigeante, coûteuse, exigeante, plus la montagne que nous voyons devant nous est grande, moins nous avons de chances de nous lancer. Devenir plus prêt psychologiquement signifie déconstruire ce que signifie prioriser l'objectif, trouver des tâches plus petites sur lesquelles se concentrer, pour réduire le fardeau émotionnel de l'engagement. Examinons maintenant la question complémentaire de la seconde moitié du test. Celui-ci demande à quel point vous vous sentez confiant de pouvoir "faire du contrôle du poids une priorité absolue", sur une échelle de 5 points allant de pas du tout confiant à complètement confiant. Ce que nous constatons généralement, c'est que la même personne qui était plutôt ou complètement d'accord pour dire qu'elle avait du mal à faire de la gestion du poids une priorité absolue, dit maintenant qu'elle est assez confiante ou complètement confiante qu'elle peut le faire. Ils disent qu'il a été difficile de donner la priorité au contrôle du poids, mais ils sont convaincus qu'ils le peuvent. D'où vient la confiance retrouvée ? Est-ce parce qu'ils sentent que quelque chose a changé dans leur situation? Le moment est en quelque sorte juste? Leur esprit est plus composé? Les enjeux ont changé et l'objectif est encore plus important maintenant qu'il ne l'était auparavant ? Ils envisagent de rejoindre un programme qui, selon eux, leur fournira le soutien et la direction qui changeront les choses ? En me demandant comment ces deux pensées apparemment opposées peuvent exister en même temps, je ne doute pas que la personne ressente vraiment cela. Ce que je pense est important, c'est d'explorer un peu plus en profondeur au-delà des réponses à choix multiples, pour comprendre pourquoi la personne pense que ce moment est le bon moment ? Au fur et à mesure que nous parcourons le reste des questions, nous obtenons quelques idées sur les défis spécifiques à chaque individu. Pour certains, c'est lié à la place de l'alimentation dans leur vie, pour d'autres, il s'agit d'apprendre à intégrer l'exercice, et pour beaucoup, c'est comment organiser ce processus et comment ils peuvent persister à long terme. Lorsque nous examinons attentivement les réponses à chaque question, nous obtenons une image de l'ensemble actuel de croyances de l'individu concernant le contrôle du poids. Notre objectif, comme nos clients, est de trouver une formule qui fonctionne et qui ne soit pas un fardeau énorme. Au fur et à mesure que leur programme avance, les clients deviennent de plus en plus "prêts", non pas à commencer le voyage, mais à continuer d'avancer chaque jour, jusqu'à ce qu'il ne s'agisse plus de changer, mais simplement de continuer ce qui est devenu naturel, automatique et intrinsèquement gratifiant. . C'est ce que nous souhaitons à tous nos clients et à tous ceux qui entreprennent leur propre cheminement vers le développement personnel. Stephen Stotland, Ph.D. Lorsque nous commençons un nouveau projet, il est logique de se demander si nous sommes prêts ? Avant de partir en road trip, on vérifie que la voiture est en bon état de marche, que les pneus sont gonflés et que le réservoir est plein, qu'on a des vêtements, de l'argent, et un itinéraire intéressant. C'est un exemple simple et évident. Bien sûr, il existe des exemples dramatiques et divertissants de personnes qui se sont lancées dans de grandes aventures sans réfléchir ni planifier et qui ont réussi d'une manière ou d'une autre, mais ce n'est probablement pas ainsi que nous voulons nous modéliser. Lorsque le changement dont nous parlons est un changement de nous-mêmes, nous devrions prendre le temps nécessaire pour considérer les implications et l'engagement qui seront nécessaires. D'abord, pourquoi voulons-nous changer? Si ces raisons sont si claires pour nous maintenant, pourquoi cela ne s'est-il pas déjà produit ? Qu'est-ce qui nous a maintenus dans notre ancien schéma ? Deuxièmement, si nous apportons le changement, quelles conséquences cela aura-t-il? Comment cela affectera-t-il d'autres choses et d'autres personnes dans notre vie ? Il y a une maxime (de Benjamin Franklin) selon laquelle "ne pas se préparer, c'est se préparer à échouer", et dans le cas d'un changement de comportement personnel, une bonne partie de la préparation consiste à clarifier le pourquoi, avant d'entrer dans le comment. . Une idée importante de la psychologie au cours des 40 dernières années est que le changement se produit en une série d'étapes. Changer ses habitudes, c'est surmonter la "loi de l'inertie" (première loi de Newton), qui stipule que "si un corps est au repos ou se déplace à vitesse constante en ligne droite, il restera au repos ou continuera à se déplacer en ligne droite à vitesse constante à moins qu'elle ne soit sollicitée par une force". Quelle est la "force" qui nous pousse à changer nos habitudes ? Un fumeur qui ne pense pas à arrêter se trouve dans une phase appelée "pré-contemplation". Si nous devions voir dans leurs pensées, nous constaterions que les avantages du tabagisme (c'est relaxant, amusant, cool...) sont bien plus importants que les inconvénients (malsain, cher, malodorant...). Pour amener cette personne à commencer à penser à arrêter de fumer (ce que nous appelons l'étape de la "contemplation"), quelque chose doit changer l'équilibre entre le pour et le contre dans ses pensées. Au fur et à mesure que la balance penche vers le fait que les inconvénients sont supérieurs aux avantages, la personne est plus proche d'un changement. Mais cela ne suffit pas pour que le changement se produise. En plus de bonnes raisons de changer, nous avons besoin de croire que le changement est non seulement possible, mais qu'il est dans notre capacité à le réaliser maintenant. Déballons un peu cela et utilisons un exemple pertinent pour le rendre plus réel. Êtes-vous capable de changer suffisamment vos habitudes alimentaires et vos activités physiques pour perdre 10 livres ? Êtes-vous en mesure de maintenir ces changements pour vous assurer que les 10 livres restent au large pendant les 5 prochaines années ? Si vous avez répondu différemment aux deux questions, vous pensez peut-être que les changements de comportement à court terme sont plus faciles que les changements à long terme. Peut-être pensez-vous qu'avec le temps, d'autres facteurs peuvent contrecarrer vos efforts (peut-être pensez-vous que votre métabolisme va ralentir en réponse à la perte de poids)... Il existe une matrice compliquée de pensées et de croyances dans notre esprit, certaines conscientes et d'autres moins, qui détermine notre état de motivation. C'est pourquoi poser une question simple comme "croyez-vous que vous pouvez perdre du poids sans le reprendre ?" n'est pas très informatif. Pour vraiment comprendre à quel point vous êtes psychologiquement prêt à atteindre cet objectif, ou tout autre objectif de changement de comportement, nous devons creuser plus profondément. Afin d'aider à explorer cela, j'ai créé un questionnaire appelé l'échelle de préparation à la gestion du poids, qui présente les types de pensées qui semblent à la fois communes et centrales à ce processus. Ceci est basé sur mes décennies de travail avec des personnes à toutes les étapes de ce voyage. S'il vous plaît, essayez, mais ce que vous faites, soyez honnête avec vous-même sur ce que vous croyez réellement, pas sur ce que vous pensez devoir dire pour obtenir le meilleur "score" ou sur ce que vous souhaiteriez ressentir. Cliquez ici pour l'échelle de préparation à la gestion du poids Meilleurs vœux pour un voyage sûr et réussi ! Stephen Stotland, Ph.D. ![]() Parfois, il est important de s’arrêter…Le miracle du présent peut offrir de si beaux cadeaux… Vous êtes peut-être la personne la plus productive et créative qui soit. Vous avez probablement la tête remplie d’idées nouvelles. Vous voyez possiblement votre agenda débordant d’importantes tâches à accomplir; vous constatez souvent que votre horaire est rempli de rendez-vous avec diverses personnes, etc. Peut-être êtes-vous quelqu’un qui souhaiterait ne pas sentir son esprit aussi surchargé d’inquiétude, de regret, de ressentiment, mais malheureusement, vous n’arrivez pas à lâcher prise sur ce lourd fardeau. Vous perdez peut-être un temps fou à penser à votre prochain repas, à ce que vous pouvez manger ou pas, à ce que vous voulez manger ou non, et l’anticipation de ce moment délectable vous fait saliver de plaisir. Ou au contraire, vous sentez la colère ou la frustration vous envahir, car vous croyez que la vie est si injuste puisque vous vous privez de vos aliments préférés. Vous pensez peut-être avec enthousiasme à votre routine d’exercices et aux progrès importants que vous espérez réaliser ainsi qu’au prochain défi que vous souhaitez accomplir et surpasser par la suite. Ou bien, votre esprit est peut-être occupé à penser au prochain party que vous organiserez ou à celui auquel vous êtes invité. Vous réfléchissez à ce que vous porterez, à ce que vous offrirez, aux gens que vous rencontrerez et en même temps, à votre désir d’y aller ou pas… Votre esprit est plein à craquer de tous les bons et de tous les mauvais aspects dont vous vous préoccupez et il est difficile de les mettre de côté, même pour un bref instant. Il semble que le seul moment où vous vous reposez, c’est lorsque vous dormez, et même encore… Vous vous sentez débordé, exténué et désespéré. Que se passe-t-il? Y a-t-il vraiment le feu en la demeure? Quelle est l’urgence nationale? Au fur et à mesure que vous progressez sur le sentier de la perte de poids et de l’augmentation de votre bien-être, vous travaillez, bien évidemment, très activement à améliorer votre façon de manger et de bouger, ce qui exige de la planification et de la pratique. Mais vous devez aussi apprendre et accepter de vous reposer lorsque vous en avez besoin. Le repos n’est pas synonyme de paresse. Il est nécessaire et essentiel pour atteindre l’équilibre et la santé. Il agit en tant qu’agent restaurateur pour que vous puissiez recharger vos batteries de bonne et saine énergie. C’est une clé importante pour que vous arriviez à déposer ce lourd bagage de stress quotidien qui vous fait presque courber l’échine et qui rend votre personne envahie d’agents toxiques. Déposez vos valises… Trouvez la paix dans l’instant… Soyez gentil avec vous-même…Arrêtez-vous, tout simplement…. Imaginez que vous êtes responsable du processus de quelqu’un d’autre. Peut-être accompagnez-vous un proche, un parent ou un ami. Vous l’aidez à concevoir son plan d’action, vous surveillez ses progrès et vous célébrez avec lui chaque petite victoire tout en le voyant se rapprocher de ses objectifs. Serez-vous un compagnon dur et impitoyable? Passerez-vous votre temps à critiquer votre protégé s’il saute un entraînement ou s’il s’offre un petit morceau de gâteau de temps en temps? Allez-vous le pousser à faire plus, même lorsqu’il se sent épuisé et au bout du rouleau? Probablement pas. Du moins, nous ne l’espérons pas! Il est beaucoup plus probable que vous agirez comme un parent responsable, celui qui aime son enfant sans condition, mais qui sait ce qui est le mieux pour lui. Vous serez son modèle, vous le guiderez, vous l’instruirez, vous l’encouragerez, vous le pousserez à persévérer, vous lui donnerez des commentaires constructifs mais aussi, beaucoup de câlins ou de tapes sur l’épaule et vous vous assurerez qu’il se repose bien à la fin de chaque journée. Presque tout fonctionnera encore si vous le débranchez pendant quelques minutes… même vous. Alice Lamott Lorsque l’on parle de la vie et du contrôle du poids, nous devons trouver l’équilibre entre « go, go, go, allez, partez, montez, descendez » et « arrêtez-vous et prenez une pause ». Y a-t-il un danger à ce que le repos nécessaire produise un retour en arrière, ou pire, qu’il se transforme en paresse? Non, pas si les périodes d’arrêt sont efficaces, c’est-à-dire qu’elles procurent le repos, la relaxation, la récupération et le relâchement. Ceux-ci apportent le bien-être et rétablissent plus aisément la motivation pour que vous puissiez, par la suite, revenir à l’action avec joie et entrain. Car le repos n’est rien d’autre qu’un acte d’amour et de respect envers vous-même. Retenez bien que c’est dans le moment présent et dans l’arrêt le plus complet que vous pouvez ressentir l’état de grâce du jardinier en éveil au milieu de son jardin, alors qu’il contemple avec bonheur la splendeur des fleurs qu’il a cultivées avec ténacité et minutie. Il a su quand arroser les plants et quand laisser le soleil faire son œuvre. Il a simplement compris le miracle de la nature. Et vous en faites aussi partie. Stephen Stotland, Ph.D. ![]() « L’avenir n’est jamais que du présent à mettre en ordre. Tu n’as pas à le prévoir mais à le permettre. » (Antoine de Saint-Exupéry) Le temps est un élément clé dans le processus de changement. Ça prend du temps pour faire les choses nécessaires à l’atteinte de nos buts. Ça demande d’établir des priorités et d’organiser, pour «créer» le temps requis à la réalisation de nos objectifs. Nous avons aussi besoin du temps pour voir les changements se manifester. Même si parfois, nous faisons tout ce qui doit être fait, nous devons attendre pour voir des résultats positifs. Dans certaines occasions, en effet, c’est comme si rien ne se passe et nous devons creuser à l’intérieur de nous pour y trouver la patience requise, celle qui nous fera accepter le temps qui passe si lentement avant de voir poindre la lumière au bout du tunnel. Il est vrai que le temps est une ressource limitée. C’est l’une des seules choses que nous ne pouvons pas acheter. Plus nous vieillissons, plus nous avons l’impression que le temps file et qu’il se fait de plus en plus rare. Les moments deviennent plus précieux lorsque nous comprenons que nous ne pouvons pas les recréer et les revivre. Le temps passé avec notre famille et nos amis ne doit pas être gaspillé. Ils sont si précieux et il est si bon d’apprécier la présence de ceux qu’on aime! Ces idées ne sont pas faciles à assimiler. Elles mettent en relief l’essentiel de la vie et elles nous rappellent de faire attention, de les intégrer dans notre quotidien. En même temps, quand on pense au temps, il y a l’anticipation de la fin et de la perte. On dit si souvent que toute bonne chose a une fin! Tout passe... C’est ce qu’on appelle l’impermanence. C’est une des vérités les plus difficiles de la vie… Mais la manière dont nous négocions avec ces dilemmes existentiels est bien ce qui importe le plus… Tombons-nous en dépression parce que rien ne perdure donc, rien ne nous importe? Ou bien saisissons-nous le jour pour en savourer chaque goutte? Ces questions philosophiques ont tout à voir avec la poursuite d'un meilleur contrôle du poids, même si on ne risque pas de les retrouver dans un livre populaire sur les diètes. En choisissant de considérer le défi du contrôle de votre poids, on accepte que : 1. Cela prendra du temps pour y arriver; 2. Cela prendra du temps pour maintenir la perte des kilos; 3. Personne ne peut prédire combien de temps il faudra pour en apprécier les fruits. En outre, le contrôle du poids a tout à voir avec la façon d’envisager et de vivre les moments de la vie, tout comme les jours, les semaines, les mois et les années. Dans l’instant présent, il y a souvent une urgence, un besoin de combler un vide, de satisfaire un désir, d’assouvir une faim ou une autre impulsion qui pousse à agir SUR LE MOMENT. On doit s’arrêter, se donner du temps, penser et choisir de rester dans la course. En vivant le moment présent, on accorde toute l'attention nécessaire à la préparation de la nourriture que l’on aime, en respectant les quantités dont on a besoin et on savoure chaque bouchée doucement. Puis on prend un moment pour réfléchir, afin de se souvenir que c'était bon, satisfaisant et suffisant jusqu'à la prochaine fois … Le temps est de notre côté, si on lui en laisse la chance et si on en respecte la valeur! Enfin, rappelons-nous que les 5 prochaines années passeront, qu’on leur prête attention ou non. Mieux vaut être là, et en tirer le meilleur parti. Arrêtons-nous un instant et pensons à quel point on sera heureux dans 5 ans, en regardant en arrière pour y voir tous les efforts intelligents que nous avons faits et tout ce que nous avons accompli et apprécié pendant tout ce temps... Stephen Stotland, Ph.D. ![]() Voici quelques idées qui me sont venues à l'esprit après un beau séjour dans les montagnes. La nature m'a inspiré ceci: 1. lorsque l'on explore les montagnes, on a besoin d'un plan (une destination et un itinéraire pour nous y rendre) et restons conscients des signes, pour être certains de rester sur la bonne route; 2. lorsqu'on fait une longue randonnée, restons en mouvement et ne prenons que de petites pauses; 3. parfois on est lent; parfois on est plutôt rapide et audacieux. L'important est de bouger de façon prudente et constante; 4. avançons un pas à la fois et lorsqu'on croit perdre courage, considérons chaque pas comme un de moins à faire pour arriver au sommet; 5. regardons tout autour... la nature est IMMENSE; 6. écoutons les guides expérimentés; 7. choisissons nos compagnons judicieusement et respectons-les dans tout ce qu'ils sont; 8. transportons notre propre bagage; nos compagnons ont le leur aussi; 9. aidons les autres lorsqu'ils ont besoin d'un petit coup de pouce; 10. un faux tournant peut nous amener très loin du cap - restons sur le sentier; 11. essayons de laisser les choses de la même façon qu'elles étaient lors de notre arrivée; 12. adaptons-nous aux circonstances changeantes; 13. habillons-nous convenablement; 14. si on ne peut pas dormir, on peut tout de même se reposer; 15. mangeons bien - pour l'alimentation, pour l'énergie et pour le plaisir- partageons notre nourriture; 16. on peut accomplir beaucoup plus qu'on peut l'imaginer; 17. il y a beaucoup à apprendre; 18. gardons le feu brûlant à une température confortable; occasionnellement, laissons brûler le bois complètement pour pouvoir nettoyer les cendres; 19. travailler très dur nous laisse un sentiment de relaxation très satisfaisant; 20. la douleur des muscles endoloris est une bonne sensation. Je sais que ces idées ont besoin d'être mises à jour régulièrement. Les bénéfices et les leçons de la nature ont besoin d'être répétées. Stephen Stotland, Ph.D. ![]() J'ai commencé à étudier l'obésité et le changement de comportement lorsque j'étais étudiant à l'université pour l'obtention de ma maîtrise. Je dois admettre que cela fait plusieurs années! Mon point de vue était, et est, que l'amélioration du contrôle du poids est une sorte d'apprentissage. Il est donc basé sur les mêmes principes qui expliquent comment apprendre quelque chose ou comment développer toute nouvelle compétence. Si nous pensons à d'autres types de projets personnels, tels que maîtriser un instrument de musique ou apprendre une nouvelle langue, ce sont aussi des tâches difficiles. Et ce n'est pas tout le monde qui commence, persévère et peut atteindre un niveau élevé de maîtrise. Qu'est-ce qui distingue les gens qui vont abandonner et recommencer à fumer de ceux qui vont cesser pour de bon pour devenir des experts hautement qualifiés? Je pense au contrôle du poids de la même manière. Je suis là depuis assez longtemps et j'ai été témoin d'un nombre suffisant de personnes essayant, d'autres échouant et d'autres réussissant de façon spectaculaire, à comprendre que le contrôle du poids est complexe. Je préfère penser à chaque cas comme une «histoire de contrôle du poids unique." Qu'est-ce que je veux dire par « l'histoire du contrôle du poids»? Quand je rencontre un nouveau patient, je veux comprendre ce qu'il pense de son problème. Quelle est son importance? Est-ce que le patient vient de son propre gré, ou plutôt pour satisfaire quelqu'un d'autre (un être cher, un médecin)? Étant donné que le problème existe depuis des années, pourquoi est-ce maintenant le bon moment pour y remédier? Quels sont les changements qui sont intervenus pour créer cette motivation? Pourquoi la personne recherche-t-elle de l'aide et pourquoi notre clinique lui offre une aide spécifique? Qu'espère accomplir le patient? Qu'espère-t-il voir se produire dans le mois prochain, dans 6 mois, 1 an ou 2 ans ....? Quelles sont ses peurs? Quels obstacles seront rencontrés en cours de route? Bien sûr, l'histoire ne commence pas là. Il y a les racines du problème que nous devons examiner. Retournent-elles à l'enfance et aux traditions familiales? Y a-t-il des situations de vie récente ou actuelle qui contribuent au problème de poids? Pensez-vous qu'un meilleur contrôle du poids permettra de résoudre d'autres problèmes, ou peut-être préparera-t-il le terrain pour les résoudre? Alors que les gens veulent perdre du poids pour améliorer leur santé et prévenir les problèmes de santé futurs, il y a généralement plus que cela. Le contrôle du poids est considéré comme un ingrédient clé dans l'amélioration de la vie, une condition préalable pour revenir aux passe-temps favoris qui ont été abandonnés, pour l'amélioration de la confiance en soi, pour s'organiser, pour entrer dans le jeu des rencontres ... D'une manière ou d'une autre, il permet de commencer un Nouveau Chapitre dans sa Vie. Donc, c'est une histoire dans laquelle je vous encourage à sauter à pieds joints. Imaginez-vous en train d'ouvrir un livre au milieu et de lire quelques pages. Vous pourriez avoir une idée de ce que c'est, mais sûrement que vous aurez envie de retourner au début pour combler les lacunes pour comprendre comment l'histoire est arrivée là, et vous pourriez être tenté de sauter plusieurs pages pour savoir comment l'histoire se termine. Mais mes patients ne sont pas des livres qui ont déjà été écrits ... C'est ce qui les rend si fascinants. Il n'y a pas à sauter à la dernière page, et même projeter le regard en arrière pour comprendre que l'histoire n'est qu'une reconstruction. Principalement, nous sommes ici dans le présent, en essayant de se concentrer, de poser ensemble un regard sur la réalité et aller de l'avant. Parfois, je me sens comme le conducteur du train, parfois comme le copilote, parfois comme un professeur, parfois comme un confident, parfois comme un observateur intéressé, et toujours comme un cheerleader. Je veux dire, "Allons-y! Vous y arriverez! Nous y arriverons ensemble!" Lorsque mon patient et moi sommes sur la même page et que nous avons confiance dans le processus,c'est comme si la magie s'installait. Mais il n'y a pas de magie! Il n'y a que la belle réalité du processus et ses résultats! J'aime réellement mon travail. Lorsque je sens que j'ai saisi l'histoire du patient et que je l'ai aidé à prendre des décisions sur ce qu'il veut faire, quand je sens que je l'ai encouragé à composer avec les émotions difficiles qu'il n'a pas pu comprendre, et quand je peux offrir une nouvelle stratégie pour faire face au stress ou améliorer les habitudes, je me sens très satisfait. Quand je fais ma part, c'est autant au patient de faire la sienne ... il faut vraiment deux personnes pour danser le tango! L'obésité est un gros problème pour mes patients et pour la société. Actuellement, il n'existe pas de consensus sur ce qu'il faut faire à ce sujet. Je ne pense pas que la réponse est de taxer les boissons gazeuses, ou de faire des campagnes pour encourager les gens à manger des légumes et marcher plus, même si ces efforts ne peuvent pas nuire. Je vais continuer à travailler avec les gens pour créer un réel changement, et être témoin ainsi de réelles histoires passionnantes! Stephen Stotland, Ph.D. ![]() Combien d'articles que vous avez lus commencent avec quelque chose comme:« le contrôle du poids est problématique, et cet article va clarifier cette confusion». Vous lisez les propos et à la fin, vous vous sentez encore plus embrouillé. Donc, si je devais dire que mes propos visent «une fois pour toutes» à éclaircir et faire disparaître la confusion, j'espère que votre réaction sera d'arrêter de lire immédiatement. Je ne ferai donc aucune promesse du genre. Nous savons tous une chose: le contrôle du poids est difficile, même si nous ne sommes pas d'accord sur ce qui le rend si ardu. Examinons rapidement quelques-unes des raisons les plus importantes: 1. L'environnement est un champ de mines de tentations, à la fois saines et malsaines. Souvent, nous sommes confrontés à trop de choix et à une surabondance de nourriture (oui, il y a encore trop de faim sur la planète, mais ça, c'est un autre problème); 2. Les relations sociales tournent souvent autour de la nourriture, en particulier les fêtes, les célébrations, la romance, regarder et pratiquer des sports («hockey et bière, tout le monde?») ... et je pourrais continuer; 3. Il y a trop d'automobiles et pas assez de marche à pied; 4. L'obésité est en quelque sorte une condition perpétuelle, avec des ajustements métaboliques, psychologiques et sociaux qui tendent à favoriser le gain de poids continu; 5. L'idée même que le contrôle du poids devrait être facile nous ramène à l'influence des médias et de l'industrie de la perte de poids. On est toujours prêt à nous vendre la plus récente «solution», soit celle qui encourage seulement la pieuse pensée et les efforts de courte durée pour perdre du poids. Ainsi, nous commençons l'année avec la résolution d'améliorer un peu les choses, pour empêcher qu'elles se détériorent. Savoir que les choses peuvent être pires, et qu'elles le seront probablement, nous incite à créer quelque chose de nouveau grâce à nos efforts déterminés, mais cela peut sembler être un «guide pessimiste pour l'établissement d'objectifs». Ceci me rappelle un de mes livres préférés, ce classique de Paul Watzlawick où ce dernier mentionne: «La situation est sans espoir, mais pas sérieuse ». Ce n'est pas le pessimisme, mais le réalisme qui est en cause ici. C'est un différent type d'optimisme qui se résume en notre capacité de façonner notre avenir et nous-mêmes, mais qu'il faut garder en tête une seule condition: celle d'en faire le choix. Je vous souhaite une saine et heureuse année 2017, remplie d'espoir, de réussite et de bonheur! Stephen Stotland, Ph.D. |
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December 2022
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